LEnculage DUn Petit Cul - Dévergondages 14
LENCULAGE DUN PETIT CUL - Dévergondages 14
Odile Laribeau, née de Rissac, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines dune société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond Gardel, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile sest laissée embrasser par son hôte. Victime dun chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.
« Le gémissement est un cri plaintif que poussent les hommes quand ils souffrent, et les femmes quand elles ont du plaisir. Paul Massonn »
Odile est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes dun restaurant. Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour quelle puisse y ranger ses tenues affriolantes. Cest dans ce lieu surprenant quil la prend en photo dans des poses plus quosée et quil la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans quelle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsquelle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Il lui introduit un rosebud dune taille supérieure dans lanus. Puis, Edmond oblige Odile à sexhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons dun parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font lamour entre elles.
Le lendemain matin, au réveil, Odile est presque violée par Michel, son mari, mais surtout il lui déflore le trou du cul sans vergogne
La journée se passe à faire lamour, comme cela ne leur était jamais arrivé en vingt-cinq ans de mariage.
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Odile na eu aucune explication avec sa fille Muriel, celle-ci lévite et ne lui fait plus de confidences sur sa vie privée. Elle sait quelle na pas de nouveau petit copain après sa rupture avec Gérard. Elle nen est pas fâchée dailleurs, car sa famille de souche noble est par trop traditionnaliste et elle se doute quun Noir ferait tache chez les « de Rissac ». Elle-même na aucun préjugé, sauf, tout de même, quelle se voit mal avoir des rapports intimes avec un homme de couleur
Dix jours se passent ainsi. Edmond Gardel est parti quelques jours en croisière. Un matin, alors quelle est seule chez elle, après sa douche, Odile se contemple dans le grand miroir en pied de sa salle de bains. Son corps est toujours aussi parfait, le ventre est plat, conséquence des séances de fitness quelle suit assidûment. Ses seins en poire salourdissent juste un peu, mais, comme ils ne sont pas imposants et toujours très fermes, elle peut être fière de sa poitrine. Elle a de jolies fesses pommelées, bien sûr pas aussi grosses que sa collègue Antoinette, mais tout de même elle peut se dire quelle a un beau petit cul callipyge. Dailleurs les hommes se retournent souvent sur son passage. Depuis quEdmond loblige à sexhiber en public, malgré sa honte, elle apprécie les regards portés sur son corps, comme la « divine salope » quelle est en train de devenir. Elle en frissonne dhumiliation et de volupté mélangées !
Elle voudrait bien voir lentrée de son anus que le rosebud de belle taille est en train dagrandir depuis deux semaines.
Pendant quelle se prépare à aller à son bureau, la DRH ne peut sempêcher de savouer que depuis quEdmond lui a imposé de porter ces engins dacier dans lanus, elle se sent excitée en permanence et quelle mouille continuellement. Peu après, elle retrouve sa collègue avec laquelle elle sest gouinée régulièrement depuis ce fameux soir il y a une douzaine de jours. Antoinette vient régulièrement dans son bureau lorsquelles reviennent du restaurant, devenu leur cantine habituelle. Dailleurs il leur est arrivé de se rejoindre dans les toilettes réservées aux femmes afin de pouvoir se masturber réciproquement à leur plus grande confusion, avec la peur permanente dêtre surprises, mais quelle jubilation. Odile lui dit quelle ne déjeunera pas ce midi avec elle, car Edmond étant rentré de sa croisière hier soir, il lattend à lappartement de la place Mitchell.
Ayant prétexté des rendez-vous professionnels pour laprès-midi, Odile, un peu anxieuse se rend donc dans la garçonnière où elle redoute la sodomie de la grosse verge de son coquin de notaire.
Son envie dêtre la plus chienne qui soit en faveur de son dominant de notaire, lui fait prendre quatre paires de menottes dans un tiroir. Sasseyant au pied du lit, elle attache dabord ses chevilles aux fixations prévues à chaque pied, puis, sétendant sur le dos, elle attache les menottes aux fixations de la tête et passe un à un ses poignets dans les bracelets et les referme. Cest ainsi que les bras et les jambes déployés, elle offre son corps dénudé et surtout sa vulve à lhomme qui viendra elle lespère la délivrer de ses entraves. Elle sent sa vulve shumidifier de plus en plus, prisonnière volontaire de celui qui ne va pas manquer de la faire souffrir mais aussi, de lui donner du plaisir comme elle lespère de tout son être.
Où est-elle la belle bourgeoise, indignée devant des comportements quelle trouve à présent anodins, lorsquelle apercevait des couples dans les rues ou dans des cafés se conduire effrontément ? Où est-elle, la femme mariée irréprochable qui se comporte comme une véritable catin avec un vieux libidineux qui la prostitue en lui faisant faire des pipes à de parfaits inconnus et qui lexpose et la fait saccoupler dans un parc avec la femme dun couple qui a fait lamour devant eux ? Où est-elle, la mère de famille, qui se gouine avec sa jeune collègue de bureau de douze ans moins âgée quelle ? Pourtant, cette honte qui la submerge, nempêche pas la joie qui est la sienne à la pensée de ce que va lui faire subir pendant des heures son plaisant tortionnaire ! Tout du moins elle lespère
Edmond arrive enfin une bonne heure après sa proie.
- Eh bien ma grosse cochonne, jai limpression que tu étais en manque. Il te faut de la bite nest-ce pas ? Et de la grosse. Tu vas en avoir, ne crains rien et commençons dabord par une bonne pipe. Bouffe-la moi et convenablement ma salope !
Tout en disant cela, sétant mis à genoux de chaque côté du torse dOdile, il a dégrafé son pantalon et sorti sa belle matraque quil fourre dans la jolie bouche de la bourgeoise qui avale sans rechigner le chibre du vieillard. Cramoisie par la honte qui la envahie sous les mots cinglants du notaire, elle pompe avec délices la hampe noueuse dont les veines roulent sous ses doigts et sur sa langue qui les lèche avec attendrissement. Mais Edmond en veut encore plus : sa proie, sans défense, nayant pas ses mains pour retenir son pieu, il lenfonce tout au fond de la gorge, manquant faire vomir la belle mature, qui bave, mais continue à agiter sa langue autour de la queue qui la martyrise. Elle la mordille même un peu et prend le gland entre ses lèvres, le serrant fortement. Elle ose même sortir sa langue, essayant de lintroduire dans la fente urinaire, goûtant le liquide pré séminal qui commence à sécouler.
Elle a déjà avalé maintes fois le foutre du notaire, aussi elle na plus aucune appréhension. Il ne va plus tenir longtemps sous la langue qui explore le méat qui souvre et bientôt, il éjecte un flot de sperme sur le visage dOdile et entre ses lèvres. Elle ouvre la bouche et absorbe le gland et même, la tige toute entière, se délectant de cette liqueur qui sécoule dans la gorge. Elle se surprend depuis un certain temps à aimer la fellation et le pouvoir de sa bouche sur le pénis de lhomme et pas seulement, absorber sa semence, cela fait aussi partie des fantasmes honteux quelle a refoulés très longtemps, comme le fait dêtre sodomisée et bien dautres. Edmond a raison, elle devient une sacrée salope !
Edmond sest relevé, il va dans la salle de bains, ne soccupant pas dOdile qui divague dans ses pensées libidineuses. Après avoir pris une douche et sêtre séché et parfumé, il revient dans la pièce complètement nu. Son engin est en berne et, bien quil ait avalé une petite pilule bleue pour poursuivre ses ébats, il va falloir un certain temps avant que son sexe ne retrouve la rigidité nécessaire.
Trois longs et forts rails en alu traversent le plafond de la pièce dans sa plus grande longueur. À intervalles réguliers des spots sont installés pour éclairer des endroits précis, mais entre ces spots, il y a des poulies, disposées à cheval sur le rail et munies dun frein, donc déplaçables. Apparemment ces poulies ne servent à rien. Pourtant, Edmond ne les a pas fait installer pour rien. Alors quOdile se repose de sa fellation, toujours immobilisée par les menottes quelle sest mise volontairement. Edmond déplace une des poulies pour la disposer verticalement à laplomb de lentrejambe, juste au-dessus du pubis dOdile. Montant sur un escabeau, il passe un cordage de nylon dans la poulie, puis il attache un bout de la corde à lanneau dune barre décartement de 1,40m environ. Il retire les menottes des chevilles féminines et glisse ces dernières dans les bracelets fixés à chaque bout de la barre. Puis il tire sur lautre morceau de la corde, soulevant les jambes jusquà ce que les fesses soient décollées du lit de 3à à 40 cm. Il a ainsi une vue des plus plaisantes sur la vulve qui baille et laisse sécouler la mouille sous lécartèlement de la barre dacier.
Sagenouillant sur le lit, il caresse le pourtour de la vulve, masse le pubis et la fine toison blonde, faisant frissonner de plaisir Odile qui a repris ses esprits. Il lui retrousse avec deux doigts le capuchon du clitoris, le chatouillant de longle et faisant tressauter son ventre. Puis, se penchant, il lèche délicatement le bonbon rose et le prend entre ses lèvres. Odile ne peut sempêcher de gémir à la langue et aux lèvres qui excellent à faire monter sa jouissance. Il est vrai quEdmond est un redoutable jouteur et quil sait lamener à « la petite mort » avec une adresse remarquable. Il la fait jouir ainsi à plusieurs reprises, la fait hurler de lattente insupportable, lui faisant quémander quil la prenne au plus vite.
Edmond se saisit du rosebud et le fait coulisser en le retirant de lanus et en le poussant dans le cul dOdile qui frissonne de lappréhension ressentie. Le notaire reste longtemps en contemplation devant le trou de presque la grosseur dun uf qui se présente à lui. Il na aucun doute quil va enculer cette petite bourgeoise perverse dans quelques instants. Il en salive presque tellement ce trou de balle le fait fantasmer. Il est certain à présent quil est suffisamment élargi pour laisser entrer son pieu jusquaux entrailles de cette jolie mature. Pourtant, il sait quelle va déguster la première fois, car il a bien lintention de la fourrer toute entière jusquà se frotter au début des intestins.
Odile est irradiée par une angoisse irrationnelle, mais son anxiété fait un bon en avant, lorsquelle voit Edmond se dresser debout sur le lit, son sexe lui semble démesuré lorsquil lapproche de son entrejambe. Il tire sur la corde pour mettre les fesses de la soumise à sa portée, puis, il glisse son gland dans le vagin outrageusement déployé, arrachant à la malheureuse des gémissements de volupté. Edmond enduit sa verge des sécrétions de sa compagne, puis changeant dendroit, il appuie sur lorifice anal, senfonçant très doucement mais sans aucune interruption dans les chairs qui se dilatent sous son il acéré. Odile ne peut sempêcher de crier sous le pieu qui défonce son derrière. Sa position lui permettant de voir la trique qui la perfore ainsi. Edmond se maitrise parfaitement et cesse de bouger une fois quil sest introduit entièrement. Odile laisse séchapper de grosses larmes quelle na pu retenir. Le notaire lui caresse le ventre, le pubis et ses doigts caressent habilement le clitoris gonflé de sa patiente.
Odile est de nouveau prise de frissons, la volupté des caresses efface la douleur ressentie. Les sensations se mélangent, surtout lorsque son suborneur entame avec sa queue des va-et-vient qui réveillent la souffrance. Pourtant, elle est heureuse de lui offrir ainsi son cul. Elle sait bien, pour lavoir connu avec Michel, son mari, quelle a apprécié la sodomie qui la comblée dune autre façon que prise dans la chatte. Dailleurs, comme avec Michel, des sensations voluptueuses se confondent avec le supplice de la verge qui écorche les sphincters à chaque passage. Edmond coïte son cul avec une régularité et un calme étonnant. Odile se surprend à aimer cette situation, où, prisonnière des liens quelle sest mis volontairement, elle est seulement spectatrice de la sodomie extrême quelle subit à son corps défendant. Ses hurlements se sont transformés en gémissements voluptueux et elle divague dans un rêve érotico-fantastique lorsquEdmond lâche son foutre dans les profondeurs de son fondement.
À suivre
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